• Je la joue!

    Moi! moi! moi!

    Zim-boum tralala-itou!

    C'est MOI qui ai le droit de la jouer !!!

    YOUHOUHOUUUUUUU!!!!!!

     

    [ Chopin - Etude op.10 n°5 ]
    { Nicolaï Luganski, piano }

     


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  • .... oui oui, z'avez bien lu: 18 enclumes en fa. non non, je suis pas tombée sur la tête. Remarque, si vous aviez un tantinet de culture Gé, vous auriez d'emblée su à quoi je fais allusion.
    Wagner. Le grand Wagner. Wagner le génie du Musikdrama, Wagner le dieu de l'opéra. Wagner l'écrivain, Wagner l'anarchiste, Wagner le metteur en scène, Wagner le pionnier, Wagner le révolutionnaire. WAGNER (tatatadaaaaam!)!!!!!
    Wagner qui a écrits des opéras fabuleux, dont la célèbre tetralogie que forment les quatre musikdramen - Das Rheingold, Die Walküre, Siegfried, Die Götterdämmerung - du "Ring des Niebelungen". Une oeuvre magistrale, grandiose, d'une envergure et d'une qualité - à mon avis - sans égale. Une critique très âpre du capitalisme, de la société tournée vers le seul but de cupidité, une société violant la terre, les hommes, la nature et les dieux afin d'assouvir sa soif de domination, d'argent et de pouvoir.
    Imaginez un peu l'impact qu'à eu la première à Bayreuth en 1876! Le message est on ne peut plus clair. Wagner d'ailleurs ne pourra pas diriger la première, ce sera son ami Liszt qui s'en chargera, Wagner étant exilé en Suisse pour avoir pris par à une insurrection en mai 1849, contre le régime autoritaire de Frédéric II.
    Imaginez 4X4 heures de musique, des parties solistique d'une extrême virtuosité (plus d'une chanteuse est presque morte en tentant d'inclure à son répertoire les arpèges du motif de la Walküre, dans une tessiture de soprano plus que coloratur), des jeux de scènes très complexes, des rôles très physiques, une partie instrumentale monumentale... Ca en jette! Ce n'est pas pour rien que Wagner a tant de fans.
    Mais revenons au "concerto pour 18 enclumes en fa". Il s'agit du motif des Niebelungen, dans le Rheingold.



    Scène I
    Sur le lit du Rhin, trois jeunes ondines sont en train de jouer. Alberich, un nain de Nibelung, apparait soudain des profondeurs de la terre et essaye de leur faire la cour. Frappées par sa laideur, les Filles du Rhin se moquent de ses avances, ce qui finit par énerver le nain. Il remarque un éclat doré qui provient d'un proche rocher, et leur demande ce que c'est. Les ondines lui disent que c'est l'or du Rhin, que leur père leur a dit de garder ; celui qui renonce à l'amour peut en faire un anneau magique, qui permettera à son porteur régner sur le monde. Elles pensent n'avoir rien à craindre de ce nain lubrique, mais Alberich a été tout aigri par leurs moqueries. Maudissant l'amour, il s'empare de l'or.

    Scène II
    Wotan, souverain des dieux germaniques, est endormi au sommet d'une montagne avec Fricka, sa femme. Fricka se réveille et voit un magnifique château derrière eux. Elle réveille Wotan et lui montre que leur nouvelle maison a été terminée. Les géants construisirent le château au nom de Wotan, et en échange Wotan leur a offert Freia, la déesse de l'amour. Fricka est inquiète pour sa sœur, mais Wotan est convaincu qu'ils n'auront pas à donner Freia.



    Freia entre, terrifiée, suivie des géants Fasolt et Fafner. Fasolt demande la paie pour le travail achevé. Il met en évidence le fait que le règne de Wotan est régulé par les traités gravés dans sa lance, dont l'un d'eux est contracté avec les géants. Donner (le dieu du tonnerre) et Froh (le dieu du printemps) arrivent pour défendre leur sœur, mais Wotan les arrête : ils ne peuvent arrêter les géants par la force, et avoue leur arrangement.



    Au grand soulagement de Wotan, Loge (le dieu du feu) fait son entrée ; Wotan a placé tous ses espoirs dans le fait que Loge puisse trouver un moyen rusé de tourner à son avantage l'affaire. Loge leur dit qu'Alberich le nain a volé l'or du Rhin et en a fait un puissant anneau magique. Wotan, Fricka et les géants commencent tous à convoiter l'anneau, et Loge sous-entend qu'ils peuvent le voler à Alberich. Fafner le demande comme salaire à la place de Freia. Les géants s'en vont, emmenant avec eux Freia en otage.



    Les pommes d'or de Freia avaient gardé les dieux éternellement jeunes ; avec leur absence, ils commencent à vieillir et à s'affaiblir. Pour regagner la liberté de Freia, Wotan est forcé de suivre Loge sous terre, à la poursuite de l'anneau.

    Scène III
    En Nibelheim - forteresse du capitalisme - , Alberich a asservi le reste des nains et contraint son frère Mime - un habile forgeron - à créer un heaume magique : le Tarnhelm. Alberich démontre le pouvoir du Tarnhelm en se rendant invisible, pour mieux tourmenter ses sujets.



    Wotan et Loge arrivent et rencontrent Mime, qui leur parle alors de l'anneau d'Alberich et de la misère que connait Nibelheim sous sa domination. Alberich revient, conduisant ses esclaves qui empilent un énorme monticule d'or. Quand ils ont terminé, il les chasse et tourne son attention vers ses deux visiteurs. C'est alors qu'il se vante de ses plans pour dominer le monde. Loge le piège en lui faisant montrer la magie du Tarnhelm en le forcant à se transformer d'abord en dragon, puis en crapaud. Les deux dieux s'emparent alors de lui et l'amènent à la surface.

    Scène IV
    Au sommet de la montagne, Wotan et Loge forcent Alberich à échanger sa richesse contre sa liberté. Ils détachent sa main droite, et utilise alors l'anneau pour appeler ses esclaves afin qu'ils lui apportent l'or. Après que l'or fut délivré, il demande le retour du Tarnhelm, mais Loge affirme que c'est une partie de sa rançon. Enfin, Wotan lui demande de céder l'anneau. Alberich refuse, mais Wotan l'arrache de son doigt et le place sur le sien. Alberich est anéanti par sa perte, et avant de partir, il maudit l'anneau : quiconque ne le possèdera pas, avant qu'il ne lui revienne, le désirera, et quiconque le possèdera ne recevra que le malheur et la mort.



    Fricka, Donner et Froh arrivent et sont accueillis par Wotan et Loge, qui leur montre l'or qui va servir à racheter Freia. Fasolt et Fafner reviennent, gardant Freia. Réticent à relâcher Freia, Fasolt déclare qu'il doit y avoir assez d'or pour la cacher de ses yeux. Les dieux entassent l'or sur Freia, mais Fasolt découvre un interstice dans l'or et demande à Wotan de retirer l'anneau pour boucher le trou. Ce dernier refuse, et les géants se préparent à enlever Freia.



    Soudainement, Erda, la déesse de la terre, apparait depuis le sol. Elle prévient Wotan de la fatalité imminente et l'exhorte à éviter l'anneau maudit. Troublé, Wotan cède l'anneau et libère Freia. Les géants commencent à se partager le trésor, mais ils se disputent au sujet de l'anneau. Fafner assomme Fasolt à mort et s'enfuit avec tout le butin. Wotan, horrifié, réalise à quel point la malédiction d'Alberich a de terribles pouvoirs.



    Finalement, les dieux préparent leur entrée dans leur nouvelle demeure. Donner invoque un orage pour nettoyer l'air. Après que la tempête s'estompée, Froh crée un pont arc-en-ciel qui s'étire jusqu'aux portes du château. Wotan les guide d'un bout à l'autre du pont jusqu'au château, qu'il nomme "Walhalla". Fricka le questionne au sujet de ce nom, et il lui répond que sa signification sera révélée plus tard.



    Loge, qui sait que la fin des dieux est proche, ne suit pas les autres dans le Walhalla ; et, loin en-dessous, les Filles du Rhin pleurent la perte de leur or.
                                                                                                                               (tiré, lu et approuvé de Wikipédia)                                                                                                           



    Pour rendre le message - la haine du capitalisme - encore plus clair, Wagner commande 18 enclumes accordés en fa, qui, lorsque Loge et Wotan descenderont dans le Niebleheim supplanteront la musique en un martellement entêtant des ouvriers, des serfs d'Alberich.
    Ca nous a bien fait rire en musico, on est parti en délaire là-dessus pendant la pause café. Imaginez la tête du gars: "b'jour, je viens vous commander 18 enclumes. Et accordés en fa siouplait"... Ou encore l'accordage au début de l'opéra, avec le forgeron à côté pour monter ou baisser le son!

    Bref, Wagner, c'est géant; écoutez Wagner!


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  • C'est beau, et pourtant... pourtant. Il y a quelque chose de creux, comme un vide, malgré cette plénitude de la semaine qui se termine.

    En repensant à cette semaine, et plus particulièrement à ces derniers jours, j'ai presque les larmes aux yeux. Hier matin, levée de petit matin (puisque les mardis je dois de toute manière emmerger à 05h15, autant que ce soit pareil tous les matins!), Il est 06h00. Les doigts virevoltants à perdre haleine dans mon univers tout de noir et  de blanc.
    Je suis heureuse.
    Mon étude de Chopin ne voulait pas progresser
    Le passage difficile ne voulait pas couler comme il faut
    Ma vue était brouillée de larmes de rage et de désespoir
    La certitude de ne pas y arriver me nouait la gorge
    Les doigts blessés par les pivotements rapides laissaient une timide trace de pourpre sur le blanc immaculé de l'ivoire
    Les oreilles bourdonnaient , le sang martelait dans mes tempes, trop peu dormi
    Un début de tendinite au poinget droit me coupait le souffle

    Mais je suis heureuse.
    Heureuse dans ma souffrance. Suis-je totalement maso??!!



    Trois heures plus tard, il faut que je fasse une pause. J'ai des lancées dans mon poignet qui vont jusqu'à la nuque. Je n'arrive carrément plus à tenir un verre d'eau avec la main droite. c'est grave docteur? Je prends mes chiens, mon écharpe, mes gants colorés, ma bible et je m'évade. Roulée en boule sur un banc public bancs publics, bancs publics, en s'fouttant pas mal du regard oblique des passants honnêtes, je prends les premiers rayons d'un soleil qui peine encore un peu à traverser le brouillard. J'aime bien le brouillard, on dirait que la nature est plus silencieuse quand elle est ainsi enveloppée dans son voile opaque. Et je feuillette dans ma vieille Bible pendant que les clebs zigzaguent la truffe scotchée au sol. Après quoi il faut rentrer, travailler encore et encore. Aussi mon violoncelle.



     A midi, je n'ai pas le temps de manger. Pas grave: je fais un grève de la faim. Pour entre à nouveau dans mon pantalon d'hiver pour des raisons que j'expliquerai dans un autre billet. Mon Manu, 10 kilos de partoches, 3 bouquins à rendre à la BPU et mon "Carl Dahlhaus, Richard Wagners Musikdramen" et hopla-boum, me voilà dans le bus, Manu serré contre moi avec une main et mon Wagner dans l'autre, à dévorer l'analyse de Lohengrin. Je lis en montant au conservatoire, je lis en descendant les escaliers vers ma salle. Une petite gamme, une étude et une suite, quelques rires et hop, direction BPU, rendre une partie de ma PAL.
    Devant le lycée, je croise mon ex-violoncelliste Matthias. Ca faisait un bail. Et je reste toujours aussi ravie de son sourire si vrai, si évident. Il m'apprend que le concert de Noël des lycéens était mercredi passé.
    Carramba! Encore raté! (Alle Jahre wieder....)
    A la biblio, je dois encore payer un retard de 3 jours. Groumpf. (ah bah, on pourra me citer parmis les mécènes de la BPU!!) Et zou, back to my loved music school (yes, indeed!). Juste le temps de me chauffer sur ce BIP! de piano à queue Yamaha avant que profinette ne passe le seuil: "L'étude de Chopin, steuplé". Mes progrès la mettent de bonne humeur, elle va jusqu'à dire " Mais ça a bien progressé, Lavinie. Je trouve que ça ira très bien pour l'audition. Wha!!! Chuis donc un génie!! (Ou alors elle ose rien dire parce que j'ai été d'un zèle remarquable, à commencer de bosser mon Chopinou dès 06h00 tous les matins). En attendant, je me mords les doigts d'avoir trop bossé. J'ai aucune envie de la faire, moi, cette grmbl d'audition.




    Il fait beau, le soleil, noyé dans la brume, envelopppe les rues dans une lumière orangée. Les enfants, bonnets et mouffles multicolores, rentrent en riant de l'école. Je me fait un petit thé, encore un peu de Chopin, et puis du Bach, pour décompresser.



     Et c'est reparti. A la Mig', acheter tout ce qu'il faut pour une fondue. Une soirée d'adieux et remerciement pour Emma. Mais il n'est pas au courant. C'est galère, j'arrive à la Mig' 10 minutes avant la fermeture, je ne sais pas combien on sera à souper, et puis, j'ai pas eu le temps d'acheter du vin blanc. Bwarf. Heureusement, il y a Raphael, qui cueille Fabienne pour vite aller au Coopshop à vélo. Acheter de vin, et aussi du pain et du fromage en plus. Parce qu'on est plus que prévu. C'est le bonheur, ce Foyer grouillant de monde. Des visages qui l'ont déserté depuis parfois longtemps. Les revoir là, tous réunis autours d'une grande table, à plonger les fourchettes dans le caquelon à qui mieux mieux me rappelle le bon vieux temps. Et comme je suis dans le genre vachement boucou nostalgique, j'en suis tout chose. Une carte circule discretos sous la table. Le stylo coule, c'est effroyable.
    La meute sort pour une partie de foot, tandis qu'avec Estella nous préparons le "gâteau": des oranges placées dans un plateau rond, sur lesquelles sont piquées des bougies, et des chocolats dans les interstices. Et la magnifique carte. Les gens reviennent, mettent de la terre partout, on éteint les lulmières le plateau fait son entrée et vient se poser devant un Emma interloqué. Ca le fait bien rire.
    Et on bouffe des oranges avec du chocolat.




    Quelques parties de loup-garou assez sanglantes, et comme toujours, très injustes (oui mais non, me faire tuer hopla-boum la première nuit, j'apprécie moyen) et les jeunets rentrent faire dodo. Sauf Mathusalem, Emma, Rebell et moi. Il est 02h00 du mat', Emma regarde la Naissance de Vénus de Botticelli en tirant une drôle de tête, Rebell est affalé sur le lit à imiter les battements du coeur (il a vu ça cet aprème à la fac), Mathusalem me lit des citations désobligeantes sur les femmes et moi je lis dans un bouquin de diététique.




    It's just life



    °°°°°°°°°°
    mood: Fatiguée/fatiguante
    musique: Muse
    Envie: dodo


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  • Lui, il est toujours là
    Lui, il ne me méprise pas:
    Lui, il ne se moque pas de moi.
    Lui, il ne détourne pas son coeur de moi
    Lui, il est le confident le plus sûr
    Lui, il me connait mieux que personne
    Lui, il partage toutes mes joies, toutes mes peines
    Lui, il ne me juge pas
    Lui, il est l'amant je plus fidèle


    Lui, il ne m'abandonnera jamais.




    J'ai l'honneur de vous présenter mon mien futur: M. Steineway&Sons, version piano à queue de concert. Admirez!


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  • <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Princesse Csárdás">... des billets promis. Ce soir, ce sera un peu de pub et quelques images de l'opérette dans laquelle je chante. Beaucoup de rires, beaucoup de répétitions aussi. Pas fâchée que ce soit fini!

    La Princesse Csárdás
    </st1:PersonName>
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> 

    </o:p>
    Acte I – Edwin de Lippert-Weylersheim est éperdument amoureuxd'une vedette de variétés, Sylva Varescu, surnommée <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Princesse">la Princesse</st1:PersonName>Csárdás. Destiné par ses parents à épouser sa cousine, la comtesseStasi, Edwin s'engage néanmoins envers Sylva par une promesse demariage en bonne et due forme. Informée de ce double engagementpar Boni, parent éloigné d'Edwin et fervent habitué des cabarets,Sylva déçue, part pour une tournée de plusieurs mois.

    Acte II – Deux mois se sont passés. Edwin a envoyé des dizaines de
    messages à Sylva, sans succès. Par dépit, il accepte de se fiancer àStasi.Durant la réception de fiançailles surviennent Sylva et Boni, Sylva sefaisant passer pour la femme de ce dernier. Edwin est fou de jalousiemais finalement demande à Boni de divorcer en sa faveur. De l'avisd'Edwin, la situation se présente mieux encore : un prince de Lippert-Weylersheim peut décemment épouser une comtesse divorcée. Cemariage ne devient plus inconvenant pour sa famille. A nouveaublessée, Sylva déchire devant toute l'assistance la promesse demariage.

    Acte III – Sylva se réfugie dans son théâtre suivie de Boni. Elle se laisseconsoler par Feri, un fidèle admirateur. Les protagonistes arrivent lesuns derrière les autres. Boni dissipe les malentendus entre Edwin etSylva qui se réconcilient, libérant ainsi Stasi dont Boni est tombéamoureux. Les parents d'Edwin reconnaissent l'irrémédiabilité dudestin en acceptant le mariage





     






     



     








     





     





    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Princesse Csárdás">
    La Princesse Csárdás
    </st1:PersonName>
    Opérette en trois actesd'Emmerich Kálmán (1882-1953)
    Livret de Leo Stein et Bela Jenbach
    Version française (éd. 1979) :Editions Mario Bois, Paris<o:p> 
    </o:p>

    Spectacles à l'occasion du 150
    e anniversaire
    de la société de chant l'Avenir, Saint-Blaise<o:p> 
    </o:p>

    Production :
    L'Avenir de Saint-Blaise
    Direction musicale : Veneziela Naydenova
    Mise en scène : Eddy Jaquet
    Piano : Roumiana Kirtcheva
    Chorégraphie : Danielle Estoppey
    Responsables des Vera Mogoutchaiacostumes : Nicole Staempfli<o:p> 
    </o:p>

    En collaboration avec le Conservatoire
    de musique de Neuchâtel<o:p> 

    </o:p>
    Distribution<o:p> </o:p>Jean-Michel DeschenauxLeopold Maria, Prince de Lippert-Weylersheim
    Monique VoleryAnhilte, Princesse de Lippert-Weylersheim, sa femme
    Nicolas WildiEdwin Ronald, leur fils
    Anna Maske, Céline SteudlerComtesse Stasi, cousine d'Edwin
    Jérémie BrocardComte Boni Káncsiánu
    Diana Gouglina, Patricia BertoSylva Varescu, Princesse Csárdás
    Bernard MonnetGénéral RohnsdorffCharles OssolaFeri von Kerekes, dit Feri bácsi
    Cyrille de MontmollinKisch, notaire
    Société de chant l'Avenirclients de cabaret, les girls, les invités du bal
    Pierre-William HenryPhotographe<o:p> </o:p><o:p> 

    </o:p>
    Vendredi 17 novembre à 20 h
    Dimanche 19 novembre à 17 h
    Samedi 25 novembre à 20 h
    Dimanche 26 novembre à 17 h<o:p> </o:p>

    Aula du collège de Vigner, Saint-Blaise

    Prix des places:
    Adultes : CHF 35.-
    AVS et Club Espace : CHF 30.-
    Jeunes jusqu'à 20 ans, apprentis, étudiants : CHF 12.-



    Venez nombreux, il y a quelque (très) bon solistes, et puis c'est poilant, la musique est plaisante, pis y a votre petite Poire adorée qui fait potiche durant 10 minutes dans l'acte II qui y chante!!


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