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Le piano que baise une main frêle
Luit dans le soir rose et gris vaguement,
Tandis qu'un très léger bruit d'aile
Un air bien vieux, bien faible et bien charmant
Rôde discret, épeuré quasiment,
Par le boudoir longtemps parfumé d'Elle.
Qu'est-ce que c'est que ce berceau soudain
Qui lentement dorlote mon pauvre être ?
Que voudrais-tu de moi, doux Chant badin ?
Qu'as-tu voulu, fin refrain incertain
Qui vas tantôt mourir vers la fenêtre
Ouverte un peu sur le petit jardin ?°°°°°°°°°°
humeur: incertitude
musique: Satie, 1ère Gymnopédie (cliquez sur l'image)
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alors pour ne pas trop déprimer, je vous donne ici l'extrait du film Oscar, histoire de se bidonner un coup avec Louis de Funès (merci Noémie pour ce lien) :
(cliquez sur l'image)
2 commentaires -
Eh beh, ça commence bien: je rédige mon premier billet, avec photo, mise en page soignée et tout le tsointsoin, et lorsqu'enfin il a passé avec brio toutes les épeuves prépublicatoriales (c'est fou ce que la langue française manque de mots!) et que je clique sur "Publier", un sympathique "vous ne vous êtes pas identifié" apparaît au milieu de l'écran.
Inutile de préciser que je ne vais pas m'amuser à refaire le billet perdu. D'autant plus que l'heure du five o'clock tea (et des biscuits qui l'accompagnent) est passée depuis 18 minutes.Bien le bonjour chez vous,
(¯`v´¯)
`·.¸.·´
¸.·´¸.·´¨) ¸.·*¨)
(¸.·´ (¸.·´ .·´¸¸.·´¯`·-> Kroucha
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humeur: remise en question
musique: Dvorák, concerto pour piano, II mvt
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